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L'enseignement universitaire remonte à Montpellier au haut moyen âge
. Une faculté de médecine y fut créée en 1222, puis une faculté des arts et de droit.
. Au début du 15ème siècle, une faculté de théologie vit le jour, suivie par la fondation de la première chaire de chimie.
. Née en 1808 sous Napoléon 1er, la faculté des sciences de Montpellier préfigurait par ses sept chaires initiales (Mathématiques transcendantes, Astronomie, Physique, Chimie, Zoologie, Botanique, Minéralogie) l'Université Montpellier II, Sciences et Techniques du Languedoc (UM2), fondée en 1970 dans le cadre de la loi d'orientation de l'enseignement supérieur.

Dotée, dès 1964, d'un campus de 30 hectares sur lequel sont bâtis 146 000 m2, la faculté des Sciences, puis l'Université, se sont progressivement étendues à l'extérieur de ce domaine par le développement successif de l'IUT de Montpellier (9 hectares, 30 700 m2 construits), de l'IUT deNimes (5 hectares, 23 700 m2 construits), la création récente de départements d'IUT à Sète et à Béziers et celle d'un campus dédié aux Sciences pour l'ingénieur situé à un kilomètre de l'implantation principale.
. Héritière d'un passé prestigieux dans le domaine de la Botanique, l'Université Montpellier II a conservé la propriété de l'Institut de Botanique, créé en 1889 et situé dans le jardin des plantes de la ville de Montpellier.
. Dès 1879, la faculté était présente à Sète par une station de biologie marine que l'Université vient de faire bénéficier d'une rénovation importante.
. L'Institut de Chimie, créé en même temps que celui de Botanique, est devenu Ecole nationale supérieure de chimie en 1941 et a reçu le statut d'établissement public à caractère administratif rattaché à l'Université Montpellier II.